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  • : Blog de Claudine Becq-Vinci Femme politique Qui suis-je ? Mon parcours Mon action départementale: Vice Présidente du Conseil Général en charge des TIC et de l'Enseignement Mon action au niveau du canton.
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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 15:07
Communauté de communes du Val de Meuse et de la Vallée  de la Dieue où je suis contribuable: 
Partout où Gilson passe les finances trépassent :
MADINE
Commune de VERDUN 
CODECOM VAL DE MEUSE ET VALLÉE DE LA DIEUE 
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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 09:54

Démocratie = Démagogie

Pour être élu dire aux gens ce qu'ils souhaitent entendre.

Une fois élu vous pouvez faire le contraire de ce que vous avez dit.

Un bel exemple en haut lieu.

 

 

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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 13:38

Un groupe de travail "informel" s'est réuni pour réfléchir sur l'intercommunalité et en particulier sur la communauté d'agglomération.

Ancienne Adjointe au Maire de Verdun et ancienne Vice Présidente de la Codecom, mais surtout actuellement Conseillère Générale du canton de Verdun Centre et Conseillère Régionale, je regrette de ne pas avoir été conviée à cette réflexion. 

Voici un extrait de ma profession de foi adressée aux grands électeurs lors des Sénatoriales de 2011

 

 

 

 

SENATORIALES 2011

 

PROFESSION DE FOI  

 

...Sur l’intercommunalité, vous avez exprimé vos craintes et le manque de temps.

 

A l’heure où l’on change les limites des territoires, la loi sur l’intercommunalité est une loi inique, discriminative, qui permet au chef-lieu d’un département d’avoir une communauté d’agglomération avec 30 000 habitants alors qu’elle en demande 50 000 pour les autres villes. C’est une loi faite pour les urbains, mal défendue par nos sénateurs censés être les gardiens des collectivités territoriales, et difficilement applicable en Meuse. Je soutiendrai votre demande « de respecter l’équité entre les deux plus grandes villes du département. »

 

Elue sénatrice, je demanderai à former un groupe de sénateurs ruraux et si possible, sans clivage politique

 

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13 juillet 2012 5 13 /07 /juillet /2012 17:12

Les écoles annexes  :

La plupart des départements concernés ont déjà délibéré sur ce sujet : exemple le Département de la Corrèze (Président François HOLLANDE) pour l’IUFM de Tulle :

 

RÉUNION DU 23 OCTOBRE 2009

........

"En conclusion et au regard des éléments énoncés ci-dessus, je vous propose :

- de bien vouloir donner un avis favorable à la procédure de désannexion de l'école annexe de l'IUFM et de m'autoriser à signer tous les documents qui seraient nécessaires pour notifier cet avis et mettre en œuvre cette procédure, en qualité de propriétaire des bâtiments de l'école annexe.

- d'approuver le programme de restructuration du site visant à la réaffectation des locaux libérés par l'école annexe pour les besoins de l'IUFM. "

 

J’ajouterai, qu’on n’a pas hésité à transférer le siège du CCDP de la Meuse jusqu'ici situé à Bar le DUC dans les locaux de l'IUFM, au Centre Mondial de la Paix à Verdun, pourtant un très bon outil pour l’IUFM alors que le département de la Corrèze le transfère dans son école désannexée.

 

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6 juillet 2012 5 06 /07 /juillet /2012 12:01

Les séances sont devenues pour moi un vrai pensum dont je m’acquitte par devoir d’élue.

Ayant exprimé mon intention de me présenter aux sénatoriales j’ai été virée de l’exécutif en  2011 au dernier renouvellement des cantonales. Depuis, je n’ai que quelques représentations sans importance. Je ne suis même pas la représentante du CG au Conseil d’administration du collège Buvignier car la majorité départementale, dont je ne sais plus où elle se situe, a voté pour le Conseiller socialiste qui a battu Arsène LUX.

A chaque fois que j’évoque cette période j’en ai du ressentiment : je la revis et donc  je « res–sens » la même émotion devant cette injustice.

 

Réunis en séance plénière le 5 juillet 2012, nous devions acter la désannexion de L'ECOLE JEAN ERRARD.

Rapport présenté en séance :

« La réforme du recrutement des professeurs des écoles a modifié en profondeur les modes de formation devenue entièrement universitaire. Ainsi depuis le 1er janvier 2008, le statut des IUFM a été modifié : ils sont devenus des écoles intégrées à l’Université, n’ayant pas vocation à conserver en leur sein une école annexe.

De ce fait, le Conseil d’Ecole de l’IUFM de Lorraine le 8 octobre 2010 et le Conseil d’Administration de l’Université Henri Poincaré en sa séance du 20 juin 2011, se sont prononcés sur l’engagement de la procédure de sortie du statut d’écoles annexes (dite désannexion) des écoles maternelle et élémentaire « Jean Errard » situées chemin de Pilviteuil à Bar le Duc.

Par courrier en date du 5 mai 2012, l’Université de Lorraine nous informe que la procédure de désannexion doit être poursuivie par une décision de notre Assemblée Départementale afin que cette école annexe soit transformée en école de droit commun. »

Cette désannexion ne menace en rien l’antenne de l’IUFM à BAR LE DUC que je soutiens.

Quelques explications : 

L’école Jean Errard était l’école d’application de l’ancienne école normale. Elle est reconstruite par le CG en 1987 pour un montant de 2,6 M €.

Une convention, signée avec le Préfet de la Meuse le 26 avril 1991, prévoyait que l'I.U.F.M. Lorraine s'engageait à maintenir une antenne dans le Département de la Meuse afin de conserver la notion même de recrutement départemental dans un souci d'aménagement du territoire.

En octobre 2008, lors des arbitrages budgétaires, le département décide de se recentrer sur ses compétences. Suite à l’intégration de l’IUFM à l’université, la Désannexion de l'école Jean ERRARD est envisagée ainsi que son transfert à la Commune de Bar le Duc. (9 classes sur 14 étaient financées par le Département.)

En décembre 2009, le Président NAMY écrit à Monsieur Jean Pierre FINANCE, Président de l’université Henri Poincaré  pour « résilier la convention du 26 avril 1991, ce qui, conformément aux dispositions de l’article 13, prendra effet au 1er janvier de la 2ème année qui suit la demande, à savoir le 01/01/2011. » Ce délai devait permettre,  au cours de l’année 2010, de réfléchir à une redéfinition des conditions d’intervention en matière de gestion et de fonctionnement des biens meubles et immeubles affectés à l’antenne meusienne de l’IUFM et à son école annexe.  

Lors d’un Conseil d’école de l’IUFM à MAXEVILLE, je découvre sur table, un courrier de la ville de Bar le DUC s’opposant à la désannexion. (Sans concertation avec le CG)

Le 8 octobre 2010, au Conseil d’école de l’IUFM à MAXEVILLE je fais passer le message du Conseil Général de la Meuse qui n’émettait aucune opposition à cette désannexion :

« Pour ne pas se désengager brutalement du partenariat avec la ville de Bar le Duc, le Conseil Général maintiendra son budget jusqu’à la désannexion. Notre engagement financier  prendra fin dès lors que l’école sera désannexée et que nos accords avec la ville de Bar le Duc seront finalisés. »

 Lors de la dernière plénière tous les conseillers généraux, sauf moi, ont pris « connaissance de la volonté de l’université de désannexer l’école Jean Errard de l’IUFM, mais ne l’approuvent pas », alors qu’ils ont toujours rechigné à voter les subventions, arguant que ce n’était pas de la compétence du CG de financer le fonctionnement de cette école au même titre que les autres écoles communales.

 En conclusion :

 

Si je suis contre la rigidité, je souhaiterais une gestion un peu plus rigoureuse de la part du Président du CG. La commande n’est jamais claire : elle varie dans le temps si bien qu’on ne sait plus quelle est la commande initiale, quel est le chemin à suivre, ce que l’on doit soutenir ou non au risque de se déjuger.

NAMY était pour la fermeture de Barres qu’il annonce publiquement lors des vœux au collège Buvignier. Il change d’avis devant la pression de la gauche.

Dès 2008, il est pour la désannexion de l’école Jean Errard, qu’il confirme par courrier en 2009,  il vote contre en 2012 toujours sur la pression de la gauche.  

 

 

Pour mon voisin au CG, « il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis » ! Dois-je en conclure que je suis une imbécile ?

 

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19 avril 2012 4 19 /04 /avril /2012 16:08

 

 

Fille d’ouvrier immigré, je sais d’où je viens.

 

Médecin gynécologue au service des malades et en particulier des femmes, j’aime les gens.

 

Engagée en politique depuis de nombreuses années au service de mes concitoyens, je ne souhaite qu’une chose leur bonheur.

 

Au 21 ème siècle, je ne crois pas qu’il faille réfléchir en parti de gauche ou de droite, mais être pragmatique c’est à dire s’adapter aux réalités du monde et du terrain.

 

Tout n’est pas manichéen : les bons d’un côté et les mauvais de l’autre. Je crois qu’il faut unir nos efforts pour permettre à la France de rester un grand pays où il fait bon vivre.

 

9 candidats n’ont eu de cesse de critiquer le Président de la République pour prendre sa place.

5 ans c’est peu pour tout réaliser, surtout en périodes de crises jamais égalées jusqu’ici, et pourtant de grandes réformes, parfois impopulaires mais nécessaires, ont été initiées.  

 

Dimanche nous allons choisir un Président.

 

Attention de ne pas détricoter ce qui a été fait et qui a permis aux Français de s’en sortir mieux que certains pays européens.

 

Attention de ne pas se faire berner par ceux qui vous disent qu’ils vont raser gratis,

 

Attention au laxisme sous prétexte de modernité et de générosité,

 

Ne croyez pas aux solutions simplistes.

 

 

 

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19 avril 2012 4 19 /04 /avril /2012 15:48

 

 

Le Bilan de Nicolas SARKOZY<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />


 

 

A l’approche de nouvelles élections, il est étonnant d’observer la violence et l’injustice des opposants de Nicolas Sarkozy. Selon eux, il n’aurait rien fait, il n’aurait pas tenu ses promesses. Alors, regardons le travail qu’il a réalisé car, au contraire, j’ai l’impression qu’il a réalisé un travail considérable.

 

Selon Alain Minc en 2010 :

"En trois ans, Sarkozy a fait plus que Giscard en sept et encore plus que Chirac qui n'a rien fait en douze".

Qu'en est-il exactement ? J’ai extrait de quelques journaux la liste de ses principales réalisations mais aussi de ce qu'on lui reproche.

  Concernant les reproches, j’ai toujours été frappé par la fragilité des accusations. Les critiques m’ont toujours paru futiles, superficielles, inconsistantes. Et elles reviennent sans cesse comme si tous les journalistes lui en voulaient :

      - Sa soirée au Fouquet's après la victoire aux élections

      - Ses réparties en langage trop populaire

      - Le soutien d'un ministre de l'intérieur taxé d'injure raciale

      - Ses liens avec des grands patrons

      - Son franc parler, sa taille, etc.

Pourquoi cela ? Peut-être parce qu’il dérange par le nombre et l’importance des réformes qu’il fait (celui qui ne fait rien n’est pas critiqué). Mais surtout, je crois, les intellectuels ne lui pardonnent pas d’occuper le terrain des idées qu’ils occupaient depuis 1968.

Contrairement à ses prédécesseurs, il dit les choses en toute simplicité, quitte à remettre en cause quelques idéologies sacralisées. Par exemple, sur les sanctions à la jeunesse délinquante, sur l’immigration incontrôlée, sur l’assistanat excessif, etc. L’intelligentsia parisienne ne lui a jamais pardonné de parler de manière décomplexée de vérités qui ne font pas partie de l’idéologie politiquement correcte. Ainsi, toutes les occasions ont été bonnes pour dire du mal de lui. Difficile d’être réélu lorsque tous les médias et beaux parleurs vous attaquent sans cesse comme le faisaient les prêtres de l’Inquisition.

 

Or quelle est la réalité ?

    

 Au préalable, pour l’honnêteté de mon propos, je dois dire que je ne suis pas un inconditionnel de la droite, j’ai parfois voté à gauche : en leur temps, j’ai fait confiance à Mendès-France ou à Michel Rocard. Si j’étais américain ou chinois, je serais certainement à gauche. Par ailleurs mes travaux personnels sont très nettement progressistes si l’on en juge par les deux livres que j’ai écrits. De plus, je n’ai pas toujours été d’accord avec les décisions de notre gouvernement actuel, par exemple sur la réduction des droits de succession, sur la baisse de TVA aux restaurateurs, sur le manque d’avancée fédéraliste européenne, etc. mais je constate qu’il a accompli un travail impressionnant, non seulement en nombre (931 réformes en cinq ans) mais en qualité.

 

Il s’est attaqué aux réformes difficiles que même Lionel Jospin n’avait pas osé faire malgré une conjoncture meilleure. Et c’est vrai, il a remis la France à l’endroit sur

 

des rails moins idéologiques, plus pragmatiques. C’est en tout cas l’avis de nombreux commentateurs étrangers qui se désolent de nos excès de religiosité socialiste.

 

On lui a reproché d’augmenter le déficit public. Mais est-ce de sa faute s'il fallait absolument sauver l'économie française suite à la crise des subprimes ? Puis s'il fallait sauver la Grèce pour ne pas engager une spirale contre l'Euro qui aurait été catastrophique pour tout le monde et surtout pour les plus faibles. La crise lui coûte cher car elle l'a obligé à nous endetter lourdement pour ne pas plomber nos emplois.

 

On lui a reproché d’aider les banques alors qu'elles sont responsables de la crise. Oui, mais sans ce plan de sauvetage les petits épargnants auraient tout perdu et le chômage aurait augmenté au détriment de l'ensemble des Français. De plus, elles ont maintenant totalement remboursé les aides reçues.

     

On lui a reproché l’augmentation du chômage. Mais la crise n’est pas de sa faute. Au contraire, il a réussi mieux que les Américains, et que la plupart des autres pays européens, à contenir le chômage. Celui-ci ne serait-il pas plus élevé avec des gouvernants de gauche qui, pour l'éviter, auraient dépensé des milliards contre-productifs dans l'assistanat et le dépannage à court terme ? Lui a privilégié le long terme en soutenant l'investissement. C’est courageux car les résultats n’apparaîtront que plus tard et ne lui profiteront pas sur le plan électoral.

 

On lui a reproché de favoriser les riches. En fait, peu de gens comprennent que son but n'est pas de faire de cadeaux aux riches mais d'empêcher les gens fortunés de quitter le pays et d'investir ailleurs, donc d'avoir suffisamment de gens riches en France pour qu'ils y investissent et créent du travail. Il faut absolument comprendre que la lutte contre le chômage passe par l'existence d’un grand nombre d’entrepreneurs aisés et soutenus dans leurs efforts.

 

On lui reproche d’être le président des riches. Mais il est au contraire le premier de nos présidents à avoir pris des mesures égalitaires importantes. Ainsi, alors qu’on lui reproche de favoriser le capital et de ne pas le taxer autant que le travail, il a fortement augmenté les taxes sur le capital afin de les mettre à peu près au même niveau (34,6%) alors qu’ils étaient taxés de 10% de moins sous Lionel Jospin. C’est passé inaperçu mais ses opposants ont continué à l’accabler d’une image anti-pauvres qui continue, malgré les faits à lui coller à la peau. Même chose pour l’impôt sur la fortune qu’il a maintenu globalement au même niveau mais en sortant seulement les propriétaires de logements dont les valeurs sont conjoncturellement trop élevées du fait de la crise du logement. La baisse de recettes a été entièrement compensée par l’augmentation de fiscalité sur la transmission du capital. Autrement dit, il taxe la transmission de capital plutôt que le capital lui-même, ce qui est souvent décourageant.

 

On lui reproche d’avoir augmenté son salaire de Président de 30%. La vérité est toute autre. Avant lui, le budget de la Présidence était un mystère, un domaine réservé où les dépenses du président se confondaient avec le budget de l’Élysée. Il a voulu moderniser tout cela et installer la transparence. Il a donc décidé que son salaire serait égal à celui du premier ministre et que les comptes seraient désormais soumis au contrôle de la cour des comptes. Comment comprendre que les journalistes ne nous aient jamais expliqué cela ? Sont-ils si incapables ? Non, plus simplement partisans.

 

On lui a reproché de ne pas tenir ses promesses. C’est injuste car, non seulement il en a tenu beaucoup, mais il l’a fait dans une situation de crise inouïe que, personne n’avait vraiment prévu avant son élection.

 

En fait comme on est en crise, tout le monde se plaint et, comme il faut un bouc émissaire, on l'accuse naturellement de nos difficultés. Curieusement, au lieu de parler de "ce qu'il fait", les médias passent leur temps à parler de lui, de sa manière, de ses intentions cachées, de son omniprésence, de ses petites phrases, etc. Pourquoi parlent-ils si peu du contenu, autrement dit des vraies questions ?

     

Alors justement regardons ses résultats. Ils sont impressionnants.

 

Des réformes qui vont marquer le pays en profondeur et qui sont un véritable progrès de notre démocratie (elles sont courageuses car les cinq premières réduisent son propre pouvoir de président) :

 

- La possibilité de recours individuel devant le conseil constitutionnel

 

- Modification de la constitution et Réduction des pouvoirs du Président de la République au profit du Parlement et des citoyens

 

- La limitation à deux mandats de cinq ans pour le Président de la République

 

- Nouveau droit donné aux députés de fixer un tiers de l'ordre du jour de l'Assemblée, leur permettant de mieux contrôler le gouvernement

 

- Réunion annuelle des deux chambres réunies à Versailles pour entendre le Chef de l’État

 

- La loi de représentativité syndicale qui les renforcera tout en favorisant le dialogue social.

 

- L'autonomie de l'Université réclamée depuis 1968 par P. Mendès-France, leader de la gauche. Même imparfaite, elle met à bas le tabou de l'égalitarisme et sera porteuse de fruits sur le long terme.

 

- Réforme des collectivités territoriales que depuis 20 ans aucun gouvernement n'avait réussi

 

- Réduction du nombre d’élus avec la création des conseillers territoriaux en lieu et place des conseillers généraux et des conseillers régionaux.

     

- Redéfinition des cartes judiciaires qu'aucun gouvernement précédent n'osait faire

    

- Ouverture de la saisine du Conseil supérieur de la magistrature aux personnes qui veulent mettre en cause le fonctionnement de la justice jusqu’à même sanctionner des magistrats

 

- Redéfinition de la carte des villes de garnison que personne n'osait faire

    

- Redéfinition de la carte hospitalière

 

- Mise en chantier de la modernisation du Grand Paris

 

- Rapprochement des policiers et gendarmes sous la même autorité, d’où une amélioration de 50% d’élucidation des crimes et délits

 

- Création du service civique volontaire (15 000 jeunes engagés pour 45 000 demandes en 2011 et 75000 en objectif 2014)

     

 

Des résultats innombrables, et parmi les plus importants (pour ne pas lister ses 931 réformes) :

 

- La réforme des retraites. Il fallait la faire. Nécessairement impopulaire, aucun des prédécesseurs n'avait eu le courage de l'affronter mais tous la disaient indispensable et urgente.

 

 

- Mise en place du service minimum lors de grèves de secteurs publics

 

- La suppression de la taxe professionnelle (impôt imbécile selon F. Mitterrand)

     

- Effort considérable et sans précédent en faveur de la recherche et de l'Université ; et aussi le triplement du crédit d'impôt qui soutient la recherche des entreprises et permet un afflux de capitaux privés vers l'enseignement supérieur

    

 - La suppression de la publicité à la télévision publique : les Français gagnent 20 minutes par jour

    

- *Revalorisation du salaire des enseignants (équivalent à un 13° mois) en contrepartie de leur réduction en nombre

 

- Réduction de la délinquance –17% ; des homicides –40% ; des atteintes aux biens – 28% ; de la délinquance de proximité – 40% ; et aussi de la mortalité routière

     

- Hausse de 20% du budget justice avec 1300 postes supplémentaires – Création de 9400 places de prison – Plusieurs mesures pour éviter les récidives (peines planchers, rétention de sûreté, traitements préventifs…) – Recouvrement des avoirs illégalement acquis par des condamnés, etc.

    

- Meilleure maîtrise de l’immigration (32 000 reconduites aux frontières de clandestins, naturalisation en baisse de 30%, 300 000 contrats d’intégration signés depuis 2007, etc.)

     

Emploi

   

- *La relance de l'économie par l'investissement et non par l'assistanat comme dans le passé qui ne donnait que des apaisements à court terme mais des affaiblissements économiques graves à long terme

    

 - *L'aide à l'industrie automobile, industrie capitale et vitale pour l'économie française

   

- *La réduction de 160 000 fonctionnaires dont la pléthore plombent notre économie. Contrairement aux apparences, cette mesure est la plus efficace pour l’emploi

    

 - Création du statut d'auto entrepreneur qui s'avère un grand succès

     

- Création de 2,5 millions d’entreprises durant le quinquennat avec soutiens renforcés et simplifiés

    

 - Amélioration de la flexibilité de l'emploi avec la rupture contractuelle

    

- Les demandeurs d’emploi ne peuvent plus refuser plus de deux offres d’emploi valables sans risquer de perdre leur indemnité

    

- *Développement de l’apprentissage au lieu de forcer des jeunes à suivre des études secondaires qui ne leur servent à rien

     

Agriculture

 

- *Quatre mesures phares en faveur de l’agriculture ont permis aux agriculteurs de dépasser la crise et d’envisager plus sereinement l’avenir et à 7000 jeunes par an de s’installer

     

- Maintien de la PAC au niveau européen

 

- *Allègement des charges sociales sur l’heure de travail agricole qui passe de 12,81€ de l’heure à 9,43 payé par la taxe sur les sodas de 0,02€ par canette.

    

 - *Amélioration des retraites agricoles (création d’un minimum, revalorisation, extension au conjoint)

    

 

Logement

 

- Encouragement de la construction (loi Scellier, pass foncier, prêts à taux zéro doublés)

    

- Construction au total sur le quinquennat de 2 millions de logements dont 600 000 logements sociaux contre la moitié seulement entre 1997 et 2001

     

- *Modération des loyers par la modification de l’indexation

     

- *Instauration du droit au logement opposable (34974 ménages ont pu être relogés après recours)

    

Assistance

    

 - *Augmentation de 30% du budget de logement des Sans abri qui est passé à 1,13 milliards

     

- *Annoncés en mars 2010, onze établissements de réinsertion scolaire fonctionnent désormais (cent cinquante élèves de 13 à 16 ans ont rejoint ces structures, 9 autres sont prévus en 2011)

     

- *Forte augmentation des bourses et des logements pour étudiants

    

- *Création du RSA (1,9 millions de foyers aidés – mais surtout, il n’est plus aussi intéressant qu’avant de ne pas travailler

     

- *Revalorisation de 25% sur 5 ans l’allocation adulte handicapé et le minimum vieillesse

    

 - *Création d’un prime pour les salariés des entreprises dont les dividendes augmentent

     

- *Assouplissement des accords d’intéressement des salariés aux fruits de leurs entreprises

      Économie (chiffres selon l’Insee)

    

- Augmentation de 4% du pouvoir d’achat des Français durant le quinquennat

     

- Et diminution de 1 million du nombre de personnes qui gagnent moins de 15 000 € par an

J’ai repéré d’un * les mesures ci-dessus à fort impact social ou favorables aux chômeurs. On voit qu’elles sont nombreuses et contredisent radicalement l’idée d’un gouvernement pour les riches.

     

En politique étrangère :

 

- Efficacité dans le choix de la méthode (traité de Lisbonne) pour résoudre la crise européenne due au référendums négatifs en France et aux Pays-Bas

- Leadership de la France dans la résolution des multiples crises européennes. Même si le poids financier de l’Allemagne restait majeur, c’est toujours lui qui fut initiateur, moteur et entraîneur.

    

 - Efficacité dans la gestion du conflit en Géorgie où il assura l’indépendance géorgienne

   

 - Courage et efficacité déterminante dans la gestion militaire de la crise en Côte d’Ivoire

 

- Courage et efficacité déterminante dans la gestion militaire de la crise en Libye

     

- Retour de la France dans l'Otan

     

- Création du G20 où son volontarisme fut décisif. Cette instance empêchera peu ou prou les facilités du chacun pour-soi en matière économique et réduira les risques de chaos mondial en augmentant la possibilité de prises de décisions internationales

    

- Meilleures relations avec les États-Unis, l'Angleterre, la Russie, la Chine, l'Inde, le Brésil…

     

- Signature de nombreux grands contrats dans de nombreux pays

     

- Engagement acharné en faveur de l’Euro

     

- Gestion imaginative et énergique de la crise

     

- Ses qualités d'intelligence, de courage et d'esprit de décision sont largement reconnues par des chefs d'État étrangers           

     

En politique intérieure

     

- Il a gouverné sans drame et assuré la paix, la justice et le respect des libertés et opinions

     

- On peut dire que globalement il a gouverné au centre

     

- *Il a intégralement maintenu notre système de protection sociale.

     

- *Il a fait preuve d’une grand esprit d’ouverture (comme jamais auparavant) en nommant des opposants à des postes majeurs comme la présidence du FMI en 2007, la présidence de la commission des finances, la cour constitutionnelle et la présidence de la cour des comptes

     

- Il n'a calé sur aucune réforme qu'il croyait juste malgré des grèves et manifestations importantes pour les Régimes spéciaux et l'Université. Il a reculé sur la réforme des lycées avec Xavier Darcos mais il l’a réalisée avec Luc Chatel.

 

A l'occasion des retraites, il a rétabli le fonctionnement de la démocratie grâce à sa fermeté devant des millions de manifestants qui, enfin, replace la légitimité des décisions à sa vraie place : le parlement. Il en a eu le courage alors qu'il était tellement plus facile de céder (comme l'ont toujours fait avant lui Balladur, Chirac, Jospin …)

    

- *Il n'a pas taxé nos transactions bancaires comme Angela Merkel en Allemagne

     

- *Il a garanti les crédits des banques, énorme décision qui a stoppé net la panique des épargnants au point qu'ils étaient prêts à vider leurs compte, ce qui aurait été un pur désastre 

                 

 

Autres résultats

 

- Réunion des Assedic et de l'ANPE, pour l’efficacité.

 

- Fusion réussie entre les services des impôts et la comptabilité à Bercy (qui avait même fait tomber un ministre socialiste)

 

- *Remise de la France au travail par diverses mesures d’encouragement

 

- *Changement des règles de la grande distribution et mise en place d'une autorité renforcée de la concurrence

 

- *Refus d'augmenter nos impôts

 

- *Délais de paiements raccourcis aux entreprises

 

- *Aide aux PME par les contribuables qui veulent alléger leur ISF

 

- *Aide aux associations d'utilité publique par les contribuables qui veulent alléger leurs impôts

                

Chantiers en cours où sa volonté permet d'espérer

 

- *Lutte (en pointe des autres États) contre la spéculation, l'excès de puissance des Hedgefunds et les paradis fiscaux qui seraient une vraie réponse à la crise mais qui ne peuvent se réussir sans accords internationaux très difficiles à obtenir.

    

- *Courageuse mise en place cependant de la fameuse taxe Tobin pour freiner la folie des transactions financières

 

- *TVA anti délocalisation de notre industrie

     

- Militance pour la mise en place d’une règle d’or assurant constitutionnellement l’équilibre de nos comptes

 

En conclusion

 

Un dirigeant politique se juge sur ses réalisations. Alors, même si on n'est pas d'accord sur certaines d'entre elles, ce qui est inévitable, on doit reconnaître l'importance du travail réalisé.

 

La première question à se poser quand on vote pour un homme politique est de savoir s'il joue pour lui ou pour son pays. La liste impressionnante ci-dessus (et le courage qu’elle a nécessité) oblige à reconnaître qu'il travaille pour la France et pour ses concitoyens. Sinon, il en aurait fait beaucoup moins et sa popularité serait plus élevée.

 

Ses réalisations permettent de dire qu'il est le meilleur des hommes d'État que nous ayons eu en France depuis longtemps. Doué d’une grande intelligence, il comprend très vite. Il a un grand pouvoir d’entraînement. C’est un leader. Dans les situations difficiles, c’est lui qui comprend le plus vite ce qu’il faut faire, et qui, de l’avis des autres chefs d’État européens, sait trouver le chemin des décisions difficiles.

Le sociologue Marcel Gauchet lui reconnaît une grande habileté tactique, une vraie volonté politique, un sens poussé de l'opinion et de ses propres insuffisances. Ne dit-il pas lui-même :"Mon meilleur ennemi, c'est moi-même". Même s'il n'est pas toujours parfait, tout le monde reconnaît largement son énergie, son efficacité, sa connaissance des dossiers et surtout, car c'est la vertu la plus rare en politique, son courage.

 

Voilà, j’ai tenu à faire cette clarification car, quelles que soient nos tendances politiques, il serait dommage de perdre le bénéfice du meilleur chef d’État que la France ait eu depuis longtemps.

 

                                                                                               Jean Marichez - 19/2/2012

 

 

 

 

 

 

 

Jean Marichez, Retraité

 

Ingénieur Icam, en retraite, Marié, 3 enfants, 9 petits-enfants.

Carrière chez Merlin Gerin, entreprise multinationale de construction électrique, à diverses fonctions de direction.

Au CA de l'École de la paix depuis 2000.

Travaux concernant la paix :

1 - Communications sur les Résistances Civiles de Masse

Naissance en 1936 d'une famille chrétienne de 7 enfants à Armentières (Nord).

Père Ingénieur Icam, directeur de filature.

Période de guerre dans la ferme de mes grands parents à Armentières et collège Saint Jude.

De 1945 à 1949 à Voiron, Isère, collège chez les Dominicains de Coublevie et de Oullins. Louveteaux, scoutisme...

De 1949 à 1954 à Laveline-devant-Bruyères dans les Vosges, études secondaires à Epinal à Saint Joseph. Baccalauréat maths et techniques.

 

De 1954 à 1959, études d'ingénieur à l'Icam à Lille. Diplôme d'ingénieur.

De 1959 à 1961, Service militaire en Algérie, (Jemmapes, Philippeville) comme Sous-lieutenant appelé.

De 1962 à 1994 au sein du groupe Merlin Gerin à Grenoble, d'abord ingénieur de production, puis directeur d'usines, gérant de filiales du groupe et autres fonctions d'état major.

Depuis 1994, à Montmélian (Savoie), en retraite avec des travaux pour la paix en collaboration avec l'Ecole de la paix.

Hobbies : Famille, Amis, Randonnées en montagne, Spiritualité, Basket, Vélo...

 

 

 

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 22:24

Sébastien GEORGE, journaliste à l’Est Républicain a publié un article intitulé « le coup de sang de Claudine Becq-Vinci » concernant mon retrait de la majorité Départementale avec les conclusions qu’il a bien voulu tirer de mon intervention lors de la séance plénière du 9 février 2012 au Conseil Général.

 CBV quitte la majorité à la Une

 CBV quitte la majorité en 24 H

Même si l'article reflète assez bien quelques unes des raisons de mon retrait,  il y en a bien d'autres et tout n'est pas exact.

 

 

-       Cela fait bien plus d’un an que mes relations avec Christian NAMY sont orageuses.Il est tellement misogyne que cela date du début de mon mandat c’est-à-dire 10 ans, avec, je l’avoue, une exacerbation depuis quelques années. Lors de mon départ de la dernière réunion de la majorité, un élu lui a demandé de  bien vouloir m’adresser ses excuses pour ses propos « inélégants ». Adjectif inapproprié : c’est un euphémisme ! 

Inutile de s'excuser: «  chassez le naturel il revient au galop ».

 

- Je n'ai, pas non plus négocié mon retrait au deuxième tour des Sénatoriales en échange de mon investiture aux Législatives parce que je ne savais pas si j’avais l’intention de la demander, parce que les promesses n’engagent que ceux qui les reçoivent et une quelconque négociation eût été peine perdue. Je me suis retirée au deuxième tour pour éviter l’élection d’un candidat socialiste mais aux dires d’un ancien Préfet de la Meuse, les Meusiens ont voté pour un candidat de droite Gérard Longuet et pour un candidat de gauche Christian Namy.

 

- Outre les humiliations répétées de la part du président

- Je suis rarement d'accord avec les décisions qui sont prises :

Madine

La sectorisation des collèges

La Maison de l’Emploi

La suppression des aides de transports en milieu rural pour les activités culturelles source d’inégalité sociale ( et qui viennent heureusement d’être rétablies)

La départementalisation du gymnase de Thierville

Etc.

 

 J’ai peut-être été critique vis à vis du Président NAMY mais je n’en ai pas moins été loyale : aucune voix ne lui a manqué lors de son élection à la tête du département.

Etre dans une majorité, cela suppose être presque toujours d'accord avec les décisions et s'astreindre parfois à suivre la discipline de groupe quand on n'est pas d'accord. Mais quand il faut sans arrêt s'astreindre à la discipline   cela signifie que l'on n'est pas souvent d'accord donc qu'on n'est plus conforme au groupe.

Aujourd’hui, je ne sais pas quelle est cette majorité qui fait voter pour un Conseiller Général de gauche pour la représenter dans un collège, une majorité où le Président critique sans arrêt le gouvernement actuel et qui va soutenir le candidat BAYROU.

 

Je suis désormais libre, « à mon âge c’est pas du luxe », et ce n’est pas un "coup de sang", mais une décision de « sagesse » en accord avec ma personnalité et mes convictions (dixit ma fille).

Sans associer ma voix à celles de la gauche je voterai en mon âme et conscience pour ce que je croirai bon pour la Meuse.

 

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11 septembre 2011 7 11 /09 /septembre /2011 19:21
Docteur Claudine BECQ-VINCI

Chevalier de la Légion d’Honneur

Conseillère Régionale

Conseillère Générale

Ecart de Billemont

55100 DUGNY SUR MEUSE

Tel. 03 29 86 46 07

Port. 06 87 81 29 07

Courriel : claudine-becq-vinci@wanadoo.fr

http://claudine-becq-vinci.over-blog.com/                               

 

                                                                                                              Dugny sur Meuse, le 24 juillet 2011

 

           

Madame la déléguée sénatoriale,

Monsieur le délégué sénatorial,

 

 

Comme en 2001, encouragée par certains maires, j’ai décidé de me porter candidate aux élections sénatoriales qui auront lieu le 25 septembre 2011.

 

A cette occasion, je me réjouis à l’idée de vous rencontrer prochainement pour faire plus ample connaissance et pour aborder les sujets qui vous tiennent à cœur tant comme élu local que comme citoyen.

 

Aux nouveaux élus qui ne me connaitraient pas encore, je tiens à me présenter.

J’habite à Billemont, hameau situé sur les communes de Belleray et Dugny.

Mon mari, Jean Paul Becq, originaire de Senon dans la Meuse, était médecin conseil au service médical de la Sécurité Sociale de verdun. Nous avons trois enfants, mariés, et six petits enfants.

 

J’ai exercé le métier de médecin gynécologue à Verdun et suis en retraite depuis quatre ans. Trente sept ans d’écoute des patients et de leurs difficultés familiales ont forgé mon sens des relations humaines.

Issue d’une famille de six enfants, fille de mineur de fer, j’étais d’emblée, de par mes origines, mes études et mon métier, au contact de tous les milieux et donc à même d’en comprendre les spécificités.

 

Mes différents mandats électoraux et engagements n’ont fait qu’accroître cette faculté de compréhension si essentielle à l’action politique.

Conseillère Générale depuis dix ans et Conseillère Régionale depuis un an et demi, élue pendant vingt-deux ans à la mairie et à la Codecom de Verdun, j’ai participé à de nombreuses campagnes (législatives et sénatoriales notamment), lesquelles n’ont cessé d’enrichir ma connaissance du terrain.

 

            Présidente de la Mission locale du Nord Meusien et représentant à ce titre, la Meuse sur le plan régional et national,  je m’implique au service des jeunes sortis du système scolaire pour leur permettre de s’insérer dans la vie sociale et professionnelle ce qui participe à l’égalité des chances mais qui est aussi un gage de cohésion sociale.

 

            J’ai été, avec d’autres femmes, à l’origine du Centre d’Information et de Documentation des Femmes et des Familles (CIDFF) dont je suis ancienne vice-présidente.

 

Fondatrice et Présidente de l’Association des élues meusiennes, j’initie trois à quatre rencontres par an avec des professionnels sur des sujets variés, d’actualité ou « avant l’heure »: TIC, énergies nouvelles, etc.

 

Expert près les tribunaux, je suis titulaire d’un diplôme interuniversitaire d’éthique médicale, ce qui alimente mes réflexions concernant les choix de société.

 

  

Le Sénat

            Presque tous les pays du monde fonctionnent avec deux chambres. Le sénat, souvent décrié, garantit, entre autres, une stabilité nécessaire à sa triple fonction de législateur, de contrôle de l’action politique du gouvernement et de gardien des collectivités territoriales.

            Je pense avoir acquis l’expérience suffisante pour assumer ces fonctions et avoir le dynamisme et l’enthousiasme nécessaires pour vous représenter sur le plan national et pour m’engager plus encore pour la Meuse et les Meusiens.

            Honnêteté, intégrité, puissance de travail et force de conviction sont les qualités que me prête mon entourage et qui guideront mon action en faveur de la Meuse.

 

Je sais les difficultés qui m’attendent face aux hiérarques de la politique qui occupent des postes depuis longtemps, bloquant ainsi l’accession des femmes (et des jeunes) à des fonctions nationales. La Meuse a cependant besoin autant de nouveaux élans que de nouveaux élus.

 

C’est pourquoi je fais le pari d’un renouvellement de notre représentation : un regard neuf et un sens des réalités propre aux femmes sont d’importants atouts pour travailler dans l’intérêt général, au service de tous.

Je fais également le pari de la complémentarité : dans notre département, où l’élection se fait au scrutin majoritaire, deux sièges sont à pourvoir pour six ans. Je fais confiance au bon sens des grands électeurs pour instaurer, «sans loi», la parité nécessaire à une véritable représentation de la réalité nationale. La philosophie politique contemporaine va dans ce sens, la Meuse ne doit pas être en reste.

Je fais enfin le pari de la proximité. Le Sénat se veut « le parlement des collectivités territoriales » et les sénateurs leurs gardiens. Avec ma simplicité mais aussi avec mon esprit critique, je m’engage à être une femme de terrain à l’écoute des élus locaux. 

 

La Meuse

Ce sera évidemment le sujet central de notre discussion lors de ma visite :

-       mise en œuvre d’une nouvelle carte de l’intercommunalité

-       élection des conseillers territoriaux

-       futur centre de stockage

-       fiscalité…

Je serai à l’écoute de toutes vos suggestions et j’exposerai sincèrement mes pensées comme je l’ai toujours fait. Nous pourrons aborder vos préoccupations quotidiennes d’élu local mais aussi l’avenir de notre département dans toutes ses composantes : ruralité et agriculture, environnement, urbanisme, développement économique, avenir de nos enfants, sécurité…

 

La France

Les grandes réformes dont notre pays a besoin sont en cours mais elles devront être poursuivies, complétées voire améliorées. D’autres, comme le financement de la dépendance, s’annoncent. 

 

Gaulliste de conviction, ce sont les idées du Gaullisme, adaptées à notre époque, qui guideront mon action : rigueur mais pas rigidité, transparence, intérêt général, esprit d’initiative et responsabilité, libéralisme ordonné et partagé, participation, solidarité et non assistanat, générosité et non laxisme… «Une certaine idée de la France».

 

En espérant pouvoir vous rencontrer, je vous prie de croire, Madame la déléguée sénatoriale, Monsieur le délégué sénatorial, en l’expression de mes sentiments dévoués.

 

 

                                                                                      Claudine Becq-Vinci

 

 

 

 

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16 février 2010 2 16 /02 /février /2010 22:54

Vendredi 19 Février

18 h 00

MONTIERS SUR SAULX

SALLE DES FETES

20 H 00

ANCERVILLE

SALLE DU CONSEIL MUNICIPAL

Lundi 22 Février

15 h 00

Visite de l’Entreprise PERARD + une rencontre avec le comité d’entreprise et les salariés

ZI de Baleycourt

16 h 30

En cours de finalisation

 

17 h 30

Visite d’EMC 2 + Réunion avec agriculteurs

Bras Sur Meuse

18 h 45

Point Presse

 

19 h 30

Réunion Publique en présence de Laurent HENART

SALLE JEANNE D’ARC

VERDUN

Mercredi 24 FEVRIER

 

JEAN FRANCOIS COPE

SAINT DIE

Jeudi 25 Février 2010

 

LAURENT WAUQUIER

NEUFCHATEAU

Vendredi 26 Février 2010

18 H 00

STENAY

 

Petite Salle des Fêtes
Place de l’Artillerie

20 H 00

MONTMEDY

 

SALLE DU CONSEIL

Samedi 27 Février 2010

11 H 30

FRESNES EN WOEVRE

SALLE DES FETES

13 h 30

VIGNEULLES – DEJEUNER CHOUCROUTE

VIGNEULLES
SALLE COMMUNALE

Lundi 1er Mars 2010

18 h 00

SPINCOURT

Salle de la Justice de la Paix

20 h 00

ETAIN

Salle des Fêtes

Pour Info

18 h 45

Meeting François FILLON

 

METZ

Mardi 2 Mars 2010

18 h 00

DIEUE /SOUILLY

SALLE DES FETES

Jeudi 4 Mars

18 h 00

LIGNY

SALLE DES FETES

20 H 00

COMMERCY

SALLE DE LA GARE ROUTIERE

Vendredi 5 Mars

 

Thématique Santé

En cours de Finalisation

 

Après Midi

Vaucouleurs

Maison Médicale

18 H 00

VAUCOULEURS

MONTIGNY LES VAUCOULEURS

Salle des Fêtes

(en face de la Mairie)

20 h  15

BAR LE DUC

SALLE DES FETES

Samedi 6 Mars

11 h 30

SEUIL D’ARGONNE

 

Salle de la Mairie

Lundi 8 Mars

Matinée

Marché de Commercy

 

 

Déjeuner sur secteur

 

Après-midi

Passage Grandes Surface VERDUN

 

18 h

CHARNY

SALLE DES FETES

20 h

DAMVILLIERS

SALLE AMBROISE PARE

21 H 00

CREPRIE GINCREY

 

Mardi 9 Mars

????

Xavier BERTRAND

EPINAL

18 h 00

CLERMONT EN ARGONNE

SALLE DE REUNION DE L’HOTEL DE VILLE

20 h 00

REVIGNY

SALLE GUMAELIUS

Jeudi 11 Mars

18 h 00

VOID VACON

SALLE CUGNOT

19 h 30

REUNION PUBLIQUE

NANCY

Vendredi 12 Mars

18 h 00

DUN SUR MEUSE

SALLE DES FETES

20 H 00

MONTFAUCON/VARENNES

SALLE DE LA MAIRIE

Samedi 13 Mars

11 h 30

GONDRECOURT

SALLE DE LA CODECOM

APRES MIDI

Passage sur les zones commerciales de Commercy, Ligny-en-Barrois et Bar le Duc

 

18 h 00

PIERREFITTE

SALLE DES FETES DE DOMPCEVRIN

Dimanche 14 mars 2010

 

1er tour des élections

 

Dimanche 21 mars 2010

 

2ème tour des élections

 

 

 

 

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